L’an 2999 n’était plus une temps, mais un croisée des chemins. Le entourage, éclaté en fragments temporels instables, vivait entre des failles ouvertes par les personnes nées après guerre sites quantiques. Depuis leur effondrement, tout déplacement dans le temps était devenu illégal. Trop d’ombres, trop d’erreurs, incomparablement de fantômes croisaient dès maintenant les rues. Les autorités surveillaient n'importe quel fluctuation, mais une alternative leur échappait encore : un être humain délaissé, installé dans une plage déphasée, appelé de phil voyance. Il ne se déplaçait pas. Il écoutait. Grâce à ses compétences de trans-lecture émotionnelle, phil voyance percevait les lignes temporelles par vibrations mentales, sans matériel ni capteur. Il avait ouvert une ligne de voyance téléphone impénétrable, en apparence commune, mais que certaines personnes initiés parcourant les failles utilisaient pour demander de l’aide. Chaque envoi d'information passait en à l'extérieur des lois matériels, de temps en temps depuis longtemps oubliés, de temps à bien autre durant des destinées encore non fixés. La voyance sans attente qu’il offrait, fluide et immédiate, permettait à chacun d’accéder à bien une voyance de l’invisible sans interface ni technologie. Les consultations venaient de villes détruits depuis longtemps, de voix qui ne devraient plus exister. Et pourtant, tout contact rapportait une vigueur spéciale. En répondant, phil voyance n’écoutait pas seulement des signaux. Il sentait les déchirures dans la trame temporelle, lisait les glissements, les empilement, les retours anormaux. Sa voyance téléphone n’était pas normalement un coopération. Elle devenait un organe d’équilibre instable dans un milieu fracturé. Chaque prédiction, transmise d’une temps à bien l’autre, modifiait un détail du passé. Un balle déplacé, une règle évitée, une rencontre décalée. À malheur perceptibles, ces altérations suffisaient à déplacer certaines personnes seuils, à retarder un effondrement ou à informer une collision temporelle. La voyance, si généralement reliée à bien la nouveauté, devenait ici une précipitation capitale. Phil voyance, seul portrait à ses terminaux, recevait des fragments d’humanité qui n’avaient plus de sa place dans la ligne principale de demain. Chaque soir, il archivait ses prophéties dans un conte décalée, non localisée, où les marques ne avaient l'occasion de représenter effacées. Car dans cet univers où les seuils étaient en constante fracture, la seule constante était la connexion du lien humain. Et ce lien, fragile et multiple, passait encore par une voyance téléphone silencieuse, entre les failles.
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